Je pense qu'à un certain stade, il faut séparer les chenilles ; beaucoup d'espèces agissent de la sorte ; ensemble, ou à quelques unes sur un périmètre assez restreint pendant une partie de la croissance, puis elles s'isolent.
D'ailleurs, c'est très rare de trouver deux ou trois chenilles de papillionidae ensembles sur la même branche.
Quand j'élevais alexanor, je trouvais les chenilles sur ptichotis hérophyla, et on ne trouvais qu'une chenille par plant, parfois deux avec des tailles différentes. Même remarque pour machaon, podalirius et même toutes les chenilles d'Apollo.
J'ai eu ce problème de flacherie ou de maladie qui se déclare à cause d'une trop grande promiscuité.